Un léger carillon rythme le début de cet extrait. L’orchestre s’anime. Debussy fait commencer la danse par un rythme obstiné aux cordes (alto, violoncelles), scandé par les coups d’un tambour de basque.
Les vents se répondent imitant les rythmes de musiques espagnoles à la guitare, tandis que des castagnettes achèvent le tableau.
Le plus incroyable, c’est que Debussy n’est jamais allé en Espagne ! Le pouvoir évocateur d'Ibéria est pourtant impressionnant…
Quelle imagination ce Debussy !